Catégories : Femmes fessées
Ce récit est la suite de : Entre mère et fille
il y a 2 ans
Elle le lui a dit presque tout de suite. À peine son sac déposé dans l’entrée.
- Faut que je te remercie, maman…
- Et de quoi donc, ma chérie ?
- De ce que, grâce à toi, ça y est ! C’est fini avec Antoine. Et bien fini. Définitivement fini.
- Ah, ben, tu vois ! Comme quoi une bonne fessée, même à ton âge, et peut-être même surtout à ton âge, ça remet les idées en place. Et ça fait prendre les décisions qui s’imposent. Au moment où elles s’imposent.
- Comment je me sens bien maintenant, tu peux pas savoir ! Apaisée. Sereine.
Et elles ont passé une journée toute en harmonie. Elles ont jardiné. Rangé le placard de la cuisine. Fait ensemble des confitures d’abricot. Elles se sont longuement attardées, le soir venu, dans le petit salon. C’était toujours le même papier jaune constellé de fleurs mauves. Qu’est-ce qu’elle avait pu le contempler, celui-là !
- C’était presque pire que la fessée elle-même ! Devoir rester le nez collé dessus, la jupe en l’air, la culotte sur les chevilles, des heures et des heures durant…
- Ce n’était pas systématique non plus.
- Non, mais c’était souvent.
- Chaque fois que tu avais dépassé les bornes. Et c’était efficace, avoue ! Ça te remettait dans le droit chemin. Pour un bon moment. Jusqu’à ce que, malheureusement, ça te reprenne. Ça finissait toujours par te reprendre.
- Oui, oh, mais c’est du passé maintenant tout ça !
- Souhaitons-le !
Et elles sont allées se coucher.
2-
Ça a été le lendemain matin. À la toute fin du petit déjeuner.
- Tu m’as menti.
Elle s’est figée, la tartine en l’air.
- Hein ? Mais non, je t’ai pas menti, non.
- Bien sûr que si ! Et tu le sais très bien. Tu n’as pas quitté Antoine.
- Je…
- Reconnais-le au moins ! Aie le courage de le reconnaître.
- Oui, mais c’est parce que…
- Parce que quoi ?
- Parce que… Parce que te le dire, c’était une façon, même que je n’y arrive pas, de me faire croire que je l’avais fait. Que je l’avais vraiment fait.
- Ben, voyons ! Et tu espères me faire avaler ça ?
- Si, c’est vrai, hein, je t’assure !
- Dis plutôt que c’était pour échapper à la fessée que, comme convenu, tu savais que je te donnerais si tu ne tenais pas tes engagements. Tu manques singulièrement de courage, ma fille. Sans compter que tu m’as menti. Et tu sais que c’est quelque chose dont j’ai horreur. Dont j’ai toujours eu horreur.
Elle a relevé la tête. Brièvement croisé son regard.
- Je suis nulle.
- Tu as surtout besoin qu’on te remette une fois de plus dans les clous. Comme quand tu avais douze ans. En arrière-fond tu es encore la gamine irresponsable et capricieuse que tu étais. Et, si on n’y met pas bon ordre, tu le resteras toute ta vie. C’est vraiment ce que tu veux ?
- Non ! Bien sûr que non !
- Alors…
Elle s’est levée. Elle est venue la prendre par la main. L’a emmenée dans le petit salon. Elle s’est assise sur le petit fauteuil, celui qui n’a pas d’accoudoirs. Comme avant. Elle l’a prise par la taille et attirée contre elle. Genoux contre genoux. Elle a passé la main sous la robe, glissé les pouces, de chaque côté, sous l’élastique de la culotte qu’elle a baissée d’un geste précis et décidé. Qu’elle a descendue et accompagnée jusque sur les chevilles. Et elle l’a fait se courber en avant, s’étendre docilement en travers de ses genoux. Elle a relevé la robe au-dessus de la taille, dégagé les fesses sur lesquelles elle a d’abord négligemment laissé traîner sa main avant de lancer une première claque. Une seconde. Une troisième.
Elle a tout de suite su que ce serait long. Et très éprouvant. Parce qu’elle a commencé par préparer posément le terrain. Exactement comme elle le faisait avant, quand elle était petite et qu’elle avait décidé de lui administrer une fessée particulièrement sévère. Toute la surface. Méthodiquement. Centre et pourtours. Longtemps. Et c’est seulement quand elle estimait qu’elle l’avait suffisamment sensibilisé, rendu parfaitement réceptif, que la fessée commençait vraiment. Qu’elle a vraiment commencé. Que ça s’est abattu. À toute volée. De grandes claques cuisantes, mordantes qui l’ont obligée à se raidir, à battre des jambes. À geindre. Puis à crier. À pleins poumons. Et à supplier. Ça faisait trop mal. Ça faisait bien trop mal. Quand ça s’est enfin arrêté, elle pleurait à chaudes larmes.
- Là ! Et maintenant tu vas au coin.
Elle a obéi, à tout petits pas, entravés par la culotte sur les chevilles. Le papier. Le papier jaune aux fleurs mauves. Elle y a collé le nez. Et c’est d’elle-même, sans qu’il soit besoin de le lui demander, qu’elle a relevé sa robe, qu’elle l’a maintenue en l’air des deux mains. Derrière, elle était restée sur le fauteuil. Elle feuilletait une revue. De temps à autre, elle toussotait. Ou bien elle la rappelait sèchement à l’ordre.
- Plus haut, la robe !
Une robe qu’elle avait tendance, la fatigue se faisant sentir, à laisser progressivement retomber.
- Plus haut, la robe, j’ai dit ! Je te le répéterai pas.
Et elle obéissait. Ça a duré trois heures. Un peu plus de trois heures. Avant qu’elle l’autorise enfin à se reculotter et à quitter son coin.
- Viens ici !
À nouveau ses genoux contre les siens. Elle a pris ses mains entre les siennes. Les a gardées.
- Tu as bien conscience qu’elle était méritée, cette fessée, j’espère… Amplement méritée.
Elle en avait conscience, oui.
- Ce n’est pas de gaieté de cœur que je te punis, tu sais ! Je préférerais ne pas y être obligée. Mais c’est pour ton bien.
- Je sais, maman. Je sais, oui.
- Parce que poursuivre cette relation avec cet Antoine ne peut, à terme, que déboucher pour toi sur une rupture avec Martial. Qui est ce que tu redoutes le plus au monde.
- Oh, pour ça, oui !
- Et qui est ce qui va inéluctablement arriver si je ne vole pas à ton secours. Et ce n’est pas tout. Parce qu’au-delà de ce cas particulier, il y a cette déplorable habitude dont tu ne parviens pas à te défaire et qui consiste à mentir à tout bout de champ. Sans arrêt. À propos de tout. C’est la première chose que tu aies faite en arrivant hier ici. Les premiers mots que tu m’aies dits ont été pour me mentir. Et ça, tu sais ce que j’en pense, c’est inacceptable. Ça l’est en soi, mais ça l’est aussi parce que ça te met et ça te mettra encore et encore dans des situations impossibles. Dont tu as et dont tu auras toujours un mal fou à t’extirper. Et qui te décrédibilisent à tout jamais aux yeux de tous ceux qui te prennent sur le fait.
- C’est plus fort que moi !
- Oui, non, mais alors ça, c’est le genre d’excuse… Il y a toujours moyen d’y arriver quand on veut. Toujours ! Et on y arrivera, tu verras ! On y arrivera.
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